Que faire quand on a des hémorroïdes à 17/18 ans ?
Quand on atteint l’âge de 17/18ans, on a beaucoup de changements dans la vie qui font qu’elle devient plus difficile qu’elle ne l’était déjà. On n’est pas encore totalement adulte, mais on sort tout juste de la période d’adolescence. Quand en plus on doit faire face à des maladies hémorroïdaires, la vie ne nous aura rien épargné !
Les hémorroïdes, pour qui ?
Les hémorroïdes, c’est pour tout le monde. En effet, quand on prononce le mot « hémorroïdes », contrairement au langage populaire, on parle des veines hémorroïdaires qui sont naturellement présentes autour de l’anus. Ce n’est pas une maladie, ce ne sont que des structures anatomiques naturellement là, pour tout le monde, et ce depuis la naissance jusqu’à la mort. Toutefois, si par « hémorroïdes » vous parlez de crise hémorroïdaire ou plutôt de maladie hémorroïdaire, la réponse reste la même. Bien que c’est assez rare pour les enfants, mais on a pu observer des inflammations chez des enfants de 8 mois, voire moins. Alors, ça n’atteint pas un groupe de personnes en particuliers, mais tout le monde y est exposé. Ceci dit, les jeunes de 17/18 ans sont les plus susceptibles d’en avoir et ce pour les raisons citées ci-dessous.
Avoir des hémorroïdes à 17/18 ans, quelles sont les causes ?
Afin de remédier à un problème, il faut avant tout identifier la cause. C’est la principale composante du traitement de n’importe quelle maladie. Si on connait les origines, on peut connaitre le remède. Voici donc les principales causes de l’apparition de crises hémorroïdaires à 17/18ans :
C’est génétique :
Les mauvaises habitudes :
Quand on est jeune, on croit pouvoir tout se permettre. On croit aussi que rien ne peut nous atteindre, à la limite, on se croit invincible. Mais, même si on a un corps jeun et en pleine santé, il ne faut pas en abuser jusqu’à l’épuiser. A cet âge, les mauvaises habitudes commencent à s’installer. On commence à fumer, à boire en excès même si ce n’est pas encore légal et pour la nouvelle génération, on est sédentaire. On ne fait pas beaucoup d’activités et on préfère rester chez soi à communiquer via messagerie ou internet. Toutes ces mauvaises habitudes favorisent l’apparition de crises hémorroïdaires.
Les mauvais habits :
De nos jours, tout le monde veut plaire et spécialement les jeunes de 17/18 ans. En effet, les problèmes de l’adolescence surmontés, plus l’acné, les seins sont plus grands et les pectoraux ont fait surface, on essaye de s’habiller de façon à attirer les regards. Ceci dit, on choisit souvent les mauvais habits. Les strings, les jeans serrés, les matières synthétiques… tous ces habits soit exercent plus de pression sur la zone anale que ce qu’elle subit déjà, soit l’irritent parce que ce n’est pas naturel.
La mauvaise alimentation :
Le manque d’hygiène :
Aussi surprenant que cela puisse être pour la plupart des gens, les jeunes de 17/18 ans ont un problème d’hygiène. En fait ce n’est pas parce qu’ils ne se douchent pas ou qu’ils ne prennent pas soin de leur « odeur », mais parce qu’ils sont insoucieux et qu’ils n’ont aucun problème à passer la nuit dehors tout en oubliant que cette zone sensible du corps doit être lavée au moins une fois par jour avec de l’eau et non seulement de papier toilette.
L’activité sexuelle :
C’est malheureux, mais c’est ainsi. Quand on est à cet âge, on a tendance à multiplier les expériences sexuelles et à se jeter sur toutes les occasions d’expérimenter quelque chose de nouveau. L’expérience « nouvelle », la plus « courante » est le sexe anal. Sauf que, on est trop jeune pour savoir comment s’y prendre proprement et on le fait mal. Souvent, on n’utilise pas assez de lubrifiant et on irrite cette zone. Il faudrait peut-être attendre un peu pour se lancer dedans.
Avoir des hémorroïdes à 17/18 ans, comment réagir ?
Il y a trois choses à faire pour pouvoir dépasser cette expérience !
L’admettre et l’accepter :
Il ne faut pas déprimer et crier à l’injustice. Sachez que vous n’êtes pas la seule personne à souffrir des hémorroïdes à 17 ans ou à 18 ans. Dites-vous qu’il y a un bébé de 8 mois qui en souffre, et que, contrairement à vous, il ne comprend pas ce qui lui arrive. Il faut admettre que vous avez un problème, l’accepter et…
En parler :
Comme chaque maladie, cela soulage d’en parler. On ne vous demande pas de le dire à tout votre entourage. Ce n’est pas facile de dire aux gens de cette même tranche d’âge ce genre de choses. Toutefois, vous pouvez en parler à votre famille, vos amis proches ou… dans des groupes de soutien. Vous pouvez en parler sur la page Facebook. Ayant déjà subi ces désagréments pendant plus de 9 ans, vous trouverez des réponses à vos questions avant même de les poser.
Consulter :
La meilleure personne qui saura vous comprendre et vous répondre, c’est un spécialiste. Un médecin vous apportera des réponses et peut-être un remède. Il ne faut surtout pas hésiter à le faire surtout quand vous avez ça pour la première fois. Un médecin saura poser le bon diagnostic et vous dira si c’est vraiment des hémorroïdes ou une fissure anale surtout si rien n’est visible.
Se soigner :
Le traitement des hémorroïdes quand on a 17/18 ans n’est pas si différent que quand on a 20, 30 ou 40 ans. Si vous voulez en apprendre d’avantage, voici quelques conseils :
Suivez ces conseils pour lutter contre les hémorroïdes
Utilisez ces conseils pour soulager les hémorroïdes
5 méthodes pour réduire les hémorroïdes
5 conseils pour guérir les hémorroïdes avec saignements
Comment soulager une crise hémorroïdaire?
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Avoir des hémorroïdes à 17/18ans, il faut continuer à vivre !
Le plus grand défis quand on a des hémorroïdes, est de continuer à avoir une vie normale. La tâche est encore plus difficile quand on a 17/18 ans. A cet âge, on a beaucoup d’activités, d’ambitions et la vie sociale prend une place très importante. Avec toute la gêne occasionnée par les hémorroïdes, on a l’impression que notre vie va s’arrêter là et qu’on est au bord de la mort sociale pourtant, ce qu’il faut faire c’est de…
Ne pas changer ses bonnes habitudes !
Quand on a l’habitude de se lever chaque matin pour faire un jogging, de sortir chaque soir pour faire une bonne marche avec les amis, il ne faut surtout pas changer ça. Il ne faut pas renoncer à ces bonnes habitudes parce qu’on a peur d’avoir mal. Il faut surmonter la douleur et continuer à faire les choses qu’on aime même si cela veut dire changer quelques détails comme opter pour une marche au lieu d’un jogging ou préférer prendre du thé ou de l’eau au lieu d’un café ou d’une bière.
Mener une vie normale !
Ce n’est pas parce qu’on a des hémorroïdes qu’il faut y penser à chaque instant. C’est vrai qu’elles se font plutôt envahissantes quand elles font la crise, mais avec les antalgiques adaptés et les anti-inflammatoires nécessaires, on peut mener une vie normale.
Funnyfact : Napoléon Bonaparte souffrait d’hémorroïdes et pourtant, ça ne l’a pas empêché de mener une vie exceptionnelle.
Ne pas céder au désespoir !
Ce qu’on ne vous raconte pas assez, c’est que tout ce qui se passe dans le corps physiquement est lié étroitement à l’état mental. Il ne faut pas céder au désespoir même si le bout du tunnel ne semble pas vouloir apparaitre. Il faut garder espoir et continuer de l’avant car plus vous sombrez dans la dépression, plus votre corps réagirai mal au traitement. C’est un cercle vicieux !
Continuer à avoir une vie sexuelle épanouie !
Facile à dire, mais pas si facile que ça à faire. C’est tout à fait compréhensible et d’ailleurs c’est votre partenaire qui doit l’être. Il suffit d’éviter toute pénétration anale et de continuer à avoir du plaisir. Pour les homosexuels, sachez qu’il y a mille et une façons de se faire plaisir sans pénétration… A vous de les découvrir à deux… (Ou à plusieurs, on ne juge personne !)
Et… Faire (un peu plus) attention !